Se former en PNL crée de nouvelles opportunités pour comprendre les autres et interagir avec plus d’efficacité. A l’IFPNL, vous découvrez à chaque niveau, de nouvelles informations sur ce qui différencie chacun d’entre nous en matière de communication et de comportement et comment aborder au mieux ces différences.

A ce sujet, l’utilisation des méta-programmes est une application pratique de la PNL particulièrement utile dans les relations professionnelles, afin de prévoir les comportements des uns et des autres et de pouvoir s’y adapter.

Les méta-programmes, qu’est-ce que c’est ?

Les méta-programmes sont des processus mentaux qui agissent comme des filtres.

Nous les utilisons de manière inconsciente, automatique pour percevoir l’information, la traiter et choisir comment agir. C’est à partir de ces filtres que nous dirigeons nos comportements. Même si ce sont des processus cognitifs, ils apparaissent dans le langage que nous employons. Il est donc utile d’apprendre à les repérer. Depuis le Technicien jusqu’en Maitre Praticien, nous vous présentons une sélection et une classification des principaux méta-programmes.

Des méta-programmes dans chaque contexte de la vie

En tant qu’être humain, nous abordons chaque situation que nous vivons, en ne laissant entrer que certaines informations et en en bloquant d’autres. Nous filtrons de manière automatique ce que nous percevons et ce que nous évaluons dans notre système nerveux.

Il nous appartient donc d’éclairer ce fonctionnement pour pouvoir agrandir nos choix de comportements et nos manières d’interagir.

Dans ce but, les journées de formation consacrées aux méta-programmes nous apprennent à décoder comment nous percevons les informations dans notre environnement, comment nous les organisons à l’intérieur de nous-même et comment nous nous motivons à faire des choix, à prendre des décisions et à agir.

Par exemple, dans chaque contexte de notre vie, nous prêtons attention à certaines choses, à certains aspects du monde extérieur plutôt qu’à d’autres :

  • Dans une réunion, certains d’entre vous aiment les détails, les points spécifiques alors que d’autres sont plus à l’aise avec les informations globales, les sujets dans leur ensemble.
  • Quand il s’agit de commercialiser un produit ou de lancer une nouvelle campagne,
    certains sont attirés par les différences, là où d’autres recherchent ce qui est déjà connu ou similaire.
  • Pour se motiver dans tâche certaines personnes cherchent ce qu’elles valorisent comme « la liberté » ou « la collaboration », tandis que d’autres évitent ce qu’on appelle des anti-critères ou anti-valeurs comme « la médiocrité », « la répétition » ou « la solitude ».
  • Nous avons aussi une manière bien personnelle d’évaluer une situation : soit nous l’évaluons à partir de notre propre point de vue, sur la base de ce qu’on pense être approprié ou nous l’évaluons à partir du point de vue des autres, sur la base de ce que les autres pensent être approprié. Et dans ce cas, nous attendons des autres qu’ils nous disent quoi faire, quoi obtenir ou comment le faire.

Ce sont-là quelques-uns des méta-programmes à repérer. L’étape suivante consiste à employer un langage qui permet de tenir compte de ce fonctionnement pour affiner sa communication et se synchroniser davantage sur son interlocuteur.

Les bons mots facilitent le rapport et les prises de décision.

Car les méta-programmes se repèrent à travers le choix des mots. Le langage qu’une personne emploie montre concrètement ce dont elle a besoin pour se motiver, pour se décider, pour se convaincre ou encore comment elle va se comporter dans une situation spécifique, quelles informations vont l’intéresser en priorité, sur quoi elle va spontanément diriger son attention etc.

Une fois que vous repérez ses méta programmes, vous pouvez alors ajuster votre communication et choisir des mots qui lui parlent vraiment et qui le poussent à agir.

C’est comme un jeu autour des questions à poser et en écoutant comment l’autre répond.
En PNL, le langage permet d’influencer l’autre avec intégrité et bien souvent, ce qui nous limite, c’est la pauvreté de notre communication et notre manque de flexibilité dans le choix des mots.

Les méta-programmes, des clés de notre fonctionnement

L’utilisation des méta-programmes montre de manière concrète que :

  • On peut mieux comprendre le fonctionnement de l’autre en utilisant ses propres mots
  • On peut prévoir sa réaction en se basant sur les mots qu’il exprime
  • On peut l’influencer positivement en choisissant un langage qui le met en action

Clairement, quand on comprend mieux la personne avec laquelle on interagit, il devient alors possible de créer un meilleur climat de travail et de collaboration.

C’est une des raisons pour lesquelles les méta programmes sont utilisés dans le monde professionnel pour atteindre de nombreux objectifs :

  • Etablir des rapports efficaces
  • Conduire le changement (équipes, organisations)
  • Concevoir des campagnes de publicité et de marketing
  • Attirer et choisi des collaborateurs motivés
  • Améliorer ses capacités de négociation
  • Adapter son discours pour satisfaire le plus d’audience
  • Guider les clients avec clarté et efficacité
  • Organiser et préparer des présentations efficaces

Stéphane DOLLY.

Parmi nos hypothèses de travail – ce qu’on appelle les présupposés de la PNL – il y a une affirmation principale « La Carte n’est pas le Territoire ». On peut simplement expliquer cette phrase en disant que chacun a sa conception personnelle de la vie, chacun a sa propre logique.

A partir des expériences vécues depuis notre arrivée au monde, nous construisons notre propre carte du monde ou notre propre Modèle, ce qui nous permet de nous orienter dans la vie et avec les autres. C’est ce qu’on appelle en PNL la Carte du Monde ou le Modèle du Monde.

Notre système nerveux dessine cette carte du monde extérieur en utilisant nos sens et d’autres filtres comme nos intérêts, nos références (ce que l’on appelle Valeurs et Critères en PNL), nos schémas de pensées et tout ce que nous pensons vrai (ce que l’on appelle Croyances en PNL).

La PNL s’intéresse donc à la façon dont nous élaborons notre Modèle du Monde, à sa cohérence, et aux différents filtres qui constituent cette carte.

Qu’est-ce qu’un modèle en PNL ?

La notion de Modèle du Monde a des implications importantes car :

  • Un modèle est conçu pour décrire, simplifier et être utile
  • Un modèle désigne ce qui sert de référence
  • Un modèle désigne aussi le résultat d’un processus de modélisation

Autrement dit, notre Modèle du Monde est à la fois une simplification utile du monde extérieur, une référence pour nous diriger dans la vie et il est le résultat de ce que nous avons modélisé depuis notre arrivée au monde. C’est notre propre Carte du Monde en PNL.

La Carte représente le territoire

En tant qu’être humain nous ne sommes pas en contact direct avec le monde extérieur mais nous utilisons nos 5 sens pour percevoir des informations de ce « territoire » : images, sons, sensations, odeurs et gouts… Chacun d’entre nous possède une ou plusieurs modalités sensorielles préférées (selon le contexte) pour entrer en contact avec le monde extérieur et en percevoir les informations.

Ces perceptions sensorielles sont traitées par le système nerveux central sous forme de représentations et sont codées avec le langage. L’ensemble de nos perceptions et de nos représentations structure notre pensée.

Quand on dit de la PNL qu’elle étudie la structure de l’expérience subjective humaine, c’est parce qu’elle décrit la façon dont nous organisons cet ensemble de perceptions et représentations sous forme d’une Carte du Monde ou Modèle du monde.

La PNL s’intéresse aussi à la manière dont nous utilisons le langage pour penser et pour communiquer ainsi qu’à la façon dont nous agissons pour obtenir des résultats.

Une Carte du Monde et des filtres

Résumons : Pour entrer en contact avec le monde extérieur, nous utilisons nos sens et à partir de ces informations sensorielles, nous nous créons un ensemble de représentations qu’on appelle Carte du Monde ou Modèle du Monde.
Bien sûr, par le simple fait que nous sommes limités par nos 5 sens, nous ne pouvons percevoir qu’une partie du monde extérieur. Et la représentation que nous nous en faisons est encore filtrée par notre culture et notre histoire personnelle.

Ainsi, chacun vit dans une réalité qu’il construit à partir de ses perceptions et de ses représentations. En PNL on dit que chacun pense, ressent et agit sur la base de son Modèle du Monde. Ce modèle est une simplification du monde extérieur, comme « une carte » qui représente « le territoire ».

L’hypothèse de base de la PNL est claire : nos difficultés, nos problèmes ne sont pas dans le monde lui-même, mais plutôt dans les filtres au travers desquels nous le percevons et nous nous le représentons. Le but d’un travail en PNL est donc d’enrichir notre Carte du Monde, de l’agrandir en y ajoutant davantage de choix pour penser, ressentir et agir.

Stéphane DOLLY.

Tout au long de votre parcours à l’IFPNL, les formateurs portent une attention particulière à votre motivation, état interne incontournable pour vous soutenir dans votre apprentissage et votre pratique. Découvrez comment booster votre motivation avec la PNL.

En PNL, on s’intéresse à la motivation selon différents aspects :

  • Comment une personne fait elle pour se motiver ?
  • Comment s’y prend-elle dans sa tête ?
  • Qu’est-ce qu’elle se dit, qu’est-ce qu’elle se fait comme images mentales ?
  • Qu’est-ce qu’elle ressent dans son corps ?

La PNL éclaire la notion de motivation de façon pragmatique :

  • La motivation est toujours à l’intérieur de soi.
    Aborder nos comportements, nos actions et nos objectifs selon ce point de vue est très aidant. Cela permet de se détacher autant que possible des conditions extérieures et de ne plus faire dépendre sa motivation d’éléments sur lesquels nous n’avons pas ou peu de contrôle (et qui, de fait, peuvent créer des sentiments de frustration, découragement, abattement etc.)
  • Un objectif est motivant s’il est relié à des valeurs personnelles, c’est-à-dire à des références importantes pour nous. Pour pouvoir nous sentir motivé(e), il s’agit de bien choisir un objectif qui cherche à satisfaire une ou plusieurs valeurs importantes pour nous.

Activer la motivation avec la PNL

Un moyen de déclencher la motivation est de mettre au jour et de se brancher sur les méta-programmes. En PNL, les méta-programmes sont des processus cognitifs, des schémas de pensées. Il en existe des spécifiques liés à la notion de motivation.

Par exemple, dans un contexte, certaines personnes se motivent à agir à partir d’un d’évitement : elles sont motivées par « éviter de perdre de l’argent », « éviter de se retrouver seul(e) », « éviter de faire des erreurs » etc. Il est utile, pour communiquer avec elles efficacement, de leur parler de tout ce qu’elles peuvent éviter comme problème ou difficulté en agissant ou en atteignant leur objectif.

Dans le même contexte, d’autres personnes se motivent à agir à partir de ce qu’elles recherchent : elles poursuivent quelque chose, elles vont vers ce qui est important pour elles. Elles sont motivées pour « gagner un meilleur salaire », « cultiver l‘écoute dans leur équipe », « marquer leur indépendance » etc. Il est utile dans un échange, de les brancher sur les conséquences positives de l’atteinte de leur objectif et de les projeter dans un futur constructif.

Les mots de la motivation avec la PNL

Un autre méta-programme utile à repérer à propos de la motivation concerne les modalités (les tournures verbales) qu’une personne utilise dans un contexte pour se motiver :

« J’ai envie de passer cet entretien » 

Elle est sensible à son plaisir, à sa liberté, à son enthousiasme

« Je dois passer cet entretien », « Il faut que je passe cet entretien » 

Elle est sensible aux obligations, aux phrases qui marquent la nécessité, la rigueur ou la discipline

« Je peux passer cet entretien »

Elle a une préférence pour les possibilités et les capacités 

En matière de communication, il est essentiel de repérer et d’utiliser des mots spécifiques pour brancher chacun sur sa motivation selon son propre fonctionnement.

Sentez ce que cela vous fait à l’intérieur, et remarquez les différences si vous vous dites, au moment d’aller vous coucher :

« J’ai envie de finir mon chapitre »
« Je dois finir mon chapitre »
« Il faut que je finisse mon chapitre »
« Je veux finir mon chapitre »
« Je peux finir mon chapitre »

La source de votre motivation

Autre Méta-programme qui illustre les caractéristiques de la motivation : dans un contexte donné, où cette personne trouve-t-elle la source de sa motivation ?

  • A l’intérieur d’elle-même ? Est-ce elle qui décide à partir de ses propres références et de ce qu’elle juge important ?
  • Ou bien trouve-t-elle la source de sa motivation dans les opinions des autres, dans les directives extérieures ? Est-ce l’autre qui décide et c’est cela qu’elle trouve motivant ?

Tout au long de votre formation à l’IFPNL, vous découvrez des outils utiles pour déclencher et entretenir votre motivation. Elle est comme un carburant qui coule en vous et chacun a son propre moteur. La mise au jour de vos valeurs et de vos méta-programmes est un moyen d’ entretenir les rouages du moteur.

De bons moyens de se démotiver

Pour finir cet article, faisons le tour de moyens « efficaces » que nous avons à notre disposition pour pouvoir perdre la motivation. Peut-être vous vous reconnaitrez dans certaines de ces attitudes :

  • Penser aux conséquences les plus négatives, au « scénario catastrophe »
    Cela créé de l’anxiété, du ressentiment et nous paralyse par rapport à un objectif
  • Se donner des ordres, se montrer intransigeant vis-à-vis de soi-même
    Cela crée une tension intérieure et nous empêche de contacter une saine motivation en direction de l’objectif à atteindre
  • Penser à la tâche à accomplir de façon globale. Voir « la montagne entière à gravir » sans découper les étapes intermédiaires possibles
    Cela nous fait nous sentir dépassé(e), submergé(e) et donne envie d’abandonner
  • Avancer vers l’objectif sans s’attacher à un but plus grand
    Cela nous fait prendre le risque de perdre l’enthousiasme au fil du temps, car ce sont les buts plus grands, reliés à nos valeurs qui nous permettent de faire preuve de rigueur ou de ténacité.

Stéphane DOLLY

Les stratégies en PNL sont des séquences en partie inconsciente (c’est-à-dire en dehors de notre conscience immédiate) que l’on parcourt neurologiquement pour mettre en œuvre un comportement : à partir d’un déclencheur, c’est à dire quelque chose que l’on perçoit avec nos sens, nous passons par un certain nombre d’étapes ou d’opérations dans notre tête et dans notre corps pour aller au bout de notre comportement puis vérifier que nous obtenons le résultat souhaité.

Par exemple une stratégie pour « me lever le matin » :

  • J’entends la sonnerie du réveil
  • Je me dis « C’est l’heure »
  • Dans ma tête, je me fais une image de ce que j’ai à faire aujourd’hui
  • Je me sens mobilisé
  • Je me lève

On peut comparer une stratégie en PNL à un programme qui se déroule en nous, en mode automatique, un programme en plusieurs étapes jusqu’à ce que le comportement soit terminé ou l’objectif atteint.

Des stratégies comme une programmation

Représenter l’ensemble de nos stratégies comme une « programmation » dans le système nerveux est une image qui se réfère à l’environnement culturel dans lequel est né la PNL : dans les années 70 en Californie, en plein boom de l’informatique. La métaphore de l’ordinateur pour décrire le fonctionnement du cerveau et du système nerveux central est alors dans l’air du temps.

Aujourd’hui on sait qu’elle est inappropriée, même si elle est encore utile pour représenter simplement certaines fonctions : par exemple, chacun de nous a ses propres programmes pour apprendre et pour agir, chacun a ses propres stratégies pour se lever le matin ou faire sa valise, apprendre une langue, se motiver, s’ennuyer, etc.

Parmi les stratégies efficaces qui ont fait le succès de la PNL depuis 50 ans, il y a entre autres la stratégie d’apprentissage de l’orthographe ou comment se remémorer un mot avec efficacité. Elle consiste, dans ses étapes-clé, à inviter l’élève à regarder le mot écrit puis à le placer en haut à gauche du champ de vision de l’élève, pour qu’il puisse s’en faire une image mentale facile à remémorer.

En PNL, on dit d’une stratégie qu’elle est plus ou moins efficace selon que l’objectif est atteint ou pas. Certaines stratégies sont particulièrement efficaces et courtes (elles possèdent un minimum d’étapes). On les qualifie alors de « stratégies élégantes ».

A l’inverse, certaines stratégies sont inefficaces ou répétitives et limitantes, comme quand on tourne en rond sans pouvoir terminer ou aboutir à un résultat concret et satisfaisant.

Décoder la structure des stratégies en PNL

Au cours d’une formation en PNL, vous apprenez à décoder la structure d’une stratégie, compétence utile pour identifier ce qui nous rend efficace : par exemple, quand j’ai une « bonne » stratégie pour apprendre, quel que soit le contenu de ce que j’apprends, ma stratégie reste la même. Que ce soit pour apprendre un poème, une langue, ou une recette de cuisine , un pas de danse… La même stratégie se déroule dans « mon système nerveux » comme un programme automatique.

Après la mise au jour d’une stratégie, vous apprenez aussi comment la modifier et la rendre plus efficace ou comment installer une stratégie plus aidante.

Ce travail se fait au niveau Praticien en PNL, dans le but d’améliorer vos capacités d’apprentissage, de mémorisation, de prise de décision ou d’accompagner quelqu’un pour lui permettre de gagner en efficacité en améliorant ses stratégies.

Pour finir, je partage avec vous une stratégie personnelle de prise de décision :

  • Je rassemble d’abord toutes les informations disponibles pour les voir représentées devant moi.
  • Je me fais une image dans ma tête de ce que je veux atteindre ou obtenir.
  • Je parle de ma décision à prendre a quelqu’un d’important pour moi ou quelqu’un que je respecte.
  • Je sens avec mon flair, dans mon ventre ce qui se passe en moi :
    • si je sens que c’est ok, j’agis.
    • si je sens que ce n’est pas ok, je m’abstiens.

Stéphane DOLLY

En PNL, les états internes sont les parties ressenties de notre expérience. C’est l’un des trois pôles du fonctionnement humain avec les pensées (ou processus cognitifs) et les comportements. Par exemple, assis dans la salle de formation, je tourne les pages de mon classeur (comportement). Ou alors, je me sens concentré, j’ai une sensation de chaleur dans les tempes (état interne), je pense et me dis dans ma tête que la communication est un sujet utile (processus cognitif).

Les 3 pôles de notre fonctionnement

Bien sûr, au cours d’une journée, vous passez par de nombreux états internes : vous vous sentez intéressé(e), fatigué(e), joyeux(se), impatient(e)…

  • En lien avec ces changements d’état interne, vos pensées changent (les images que vous avez en tête, les choses que vous vous dites)
  • Et ces changements d’états internes et de pensées se manifestent à travers vos comportements.
  • A chaque instant, les 3 pôles de notre fonctionnement interagissent entre eux et s’influencent de manière réciproque

Donc pour changer d’état interne dans une situation, une intervention simple est de changer de comportement : par exemple,
si je suis immobile (comportement), ou entrain de ruminer dans ma tête (processus cognitif) et que je me sens anxieux (état interne) : le simple fait de me mettre en mouvement ou de faire quelques étirements (changement de comportement) va modifier mon état interne et le flux de mes pensées.

Vos états internes vous appartiennent à 100%

Vous avez sans doute vos propres moyens pour quitter l’ennui ou la morosité. Peut-être regardez-vous une série que vous aimez, vous écoutez des chansons qui vous donnent de l’énergie ou de la joie, vous programmez une sortie ou un rdv avec des amis etc. Vous savez peut-être aussi prendre du recul ou de la hauteur, relativiser une situation…

Au cours de votre formation à l’IFPNL vous apprenez et pratiquez des outils concrets pour faire tout cela : la désactivation d’ancre et la dissociation, par exemple, sont des outils de niveau technicien en PNL pour apprendre à mieux gérer les états internes.

Responsable de soi-même avec la PNL

A chaque niveau de votre parcours, nous insistons sur une idée essentielle : nous avons la responsabilité de ce que nous ressentons. C’est nous qui générons notre état interne. Autrement dit, ce n’est pas la situation qui le génère, c’est bien nous qui, à partir du sens que nous donnons à notre vécu (notre interprétation), ressentons un état interne.

Cette notion de responsabilité personnelle se résume simplement : « Je suis responsable de ce que je pense, de ce que je ressens et de ce que je fais ». C’est une attitude utile en matière de communication et de changement.

Des capacités pour gérer vos états internes avec la PNL

En PNL, nous partons du principe qu’il n’existe pas d’état interne positif ou négatif, tout dépend du contexte dans lequel nous le ressentons. Par contre, selon le contexte et l’objectif il y a des états internes aidants et d’autres qui sont limitants, certains sont appropriés et d’autres sont inappropriés.

Gérer ses états internes en PNL correspond à un ensemble de savoir-faire que vous développez au fil de la formation, entre autres :

  • Choisir et nommer ce que l’on ressent
  • Susciter et déclencher un état interne ressource
  • Ancrer un état interne pour le stabiliser et le faire durer
  • Eviter d’entrer dans un état interne limitant
  • Désactiver un état interne limitant

Et plus vous avancez dans votre apprentissage de la PNL, plus vous réalisez que chaque état interne a une structure, avec des éléments qui permettent de le reconnaitre et de le transformer.

Au niveau Maitre-Praticien en PNL, vous apprenez à vous servir pleinement de cette analyse des états internes pour

  • Mieux vous connaitre et mieux comprendre un interlocuteur
  • Sélectionner vos états internes de façon plus pertinente
  • Les maitriser en modifiant leurs paramètres

Des habitudes pour aborder vos états internes en PNL

Enfin, voici quelques bonnes habitudes à prendre afin de mieux gérer votre monde intérieur :

  • Prenez l’habitude de repérer l’état interne qui vous serait utile pour atteindre un objectif ou vous comporter comme vous aimeriez le faire.
  • Entrainez-vous à nommer ce que vous ressentez, à en évaluer l’intensité et à y associer une ou des images mentales
  • Repérer la physiologie de votre état interne : la posture ou les gestes, votre respiration et les sensations qui lui sont associées

Egalement, voici ses questions utiles à se poser dans toute situation :

  • Comment ai-je besoin de me sentir pour pouvoir faire ce que j’ai à faire ?
  • Comment nommer ce que je ressens ici et maintenant ?
  • Où est-ce localisé dans mon corps ?
  • A combien évaluer l’intensité de ce que je ressens ?
  • Qu’est-ce qui fait que je ressens ce que je ressens ?

Stéphane DOLLY

La PNL est une approche puissante qui permet de comprendre comment les individus pensent, ressentent et agissent. Elle offre des outils et des techniques pour améliorer la communication, développer la confiance en soi et atteindre des objectifs. Si vous habitez à Lyon ou dans ses environs, une formation en PNL peut vous apporter de nombreux avantages. Dans cet article, nous explorerons les bienfaits d’une telle formation et comment elle peut transformer votre vie.

Améliorer sa communication

L’un des principaux avantages d’une formation en PNL est l’amélioration de la communication. Vous apprendrez à écouter activement et à ajuster votre communication pour mieux vous connecter avec les autres. Que vous souhaitiez communiquer plus efficacement au travail, dans votre vie personnelle ou en tant que professionnel de la santé, une formation en PNL à Lyon renforcera vos compétences de communication.

Elle vous apprendra aussi à mieux vous comprendre, à reconnaître vos propres modèles de pensée et de comportement, ainsi qu’à comprendre les motivations et les besoins des autres. Cela peut améliorer vos relations personnelles et professionnelles en favorisant une communication plus efficace et une meilleure empathie.

Atteindre ses objectifs (professionnels et personnels)

La PNL propose des techniques de fixation et de réalisation d’objectifs. Grâce à une formation en PNL à Lyon, vous apprendrez d’abord à définir des objectifs clairs et réalisables, mais aussi à créer des plans d’action efficaces, et à maintenir votre motivation tout au long de votre parcours.

Renforcer sa confiance en soi, gérer son stress

La PNL met l’accent sur le développement personnel. Elle vous aidera à identifier et à transformer les croyances limitantes qui vous empêchent d’atteindre votre plein potentiel. Une plus grande confiance en soi est l’un des bienfaits les plus précieux de la PNL, car elle vous permettra de relever des défis avec assurance.

Ce modèle offre également des outils pour gérer le stress et l’anxiété de manière efficace. Vous apprendrez des techniques de relaxation, de gestion des émotions et de changement de perspective. Elles vous aideront à maintenir un équilibre émotionnel, même dans des situations stressantes.

Développer des compétences de leadership

Si vous aspirez à un rôle de leader, la PNL peut vous aider à développer des compétences de leadership efficaces. Vous apprendrez à inspirer et à motiver les autres, à prendre des décisions éclairées et à résoudre les conflits.

En conclusion, une formation en PNL peut apporter des avantages significatifs à votre vie personnelle et professionnelle. Elle vous permettra d’améliorer votre communication, de renforcer votre confiance en vous, mais aussi d’atteindre vos objectifs, ou encore de gérer votre stress. Investir dans une formation en PNL à Lyon est un moyen judicieux d’explorer votre potentiel et de vivre une vie plus épanouissante. Ne manquez pas cette opportunité de développement personnel et professionnel !

Au cours d’une formation en PNL, vous apprenez à poser des questions efficaces pour dépasser les pièges inévitables du langage. C’est le Métamodèle en PNL.

En effet, comment savoir que l’on comprend vraiment son interlocuteur ? Quand nous l’écoutons, nous donnons du sens à ce qu’il dit à partir de notre Modèle du Monde. Pour autant, cela n’est pas forcément le sens qu’il donne lui, à son propos.
Il y a tant de moments où nous avons besoin d’être précis, factuels ou de remettre en question des liens que fait spontanément notre interlocuteur dans ses propos.

Le langage est une représentation et donc forcément une approximation. Les mots s’approchent du vécu pour tenter de le décrire mais nous sommes limités par le vocabulaire, la structure des phrases et les règles générales  du langage.

S’exprimer avec précision grâce à la PNL

Le Métamodèle est un ensemble de questions qui nous aide à mieux comprendre un interlocuteur, et à communiquer avec davantage d’efficacité. Les questions du Métamodèle sont parmi les plus utiles que vous pouvez apprendre pour savoir ce que votre interlocuteur veut dire précisément. Elles ont un impact déterminant dans un entretien et montrent que l’on est intéressé tout en lui permettant s’il le souhaite, de remettre en question ses interprétations ou de repousser les limites de son Modèle du Monde.

Car les mots que nous utilisons ne font que représenter notre expérience. Quand nous nous exprimons nous produisons de manière inconsciente des généralisations, des sélections et des distorsions. C’est inévitable, c’est notre manière de donner du sens et de la cohérence à ce que nous pensons et disons.
Or il y a tant de moments où nous avons besoin d’être précis ou de remettre en question des liens que fait notre interlocuteur.

Dans toute situation de communication qui manque de clarté, il est prioritaire de revenir au niveau le plus concret. C’est-à-dire celui des faits ou de l’expérience vécue pour pouvoir les décrire en laissant de côté les jugements, les présuppositions, les mots généralisants etc.

Le Métamodèle, aux origines de la PNL

Bandler et Grinder, les créateurs de la PNL, se sont appuyés sur les lois fondamentales du langage pour créer un outil qui permette de dépasser les pièges qu’il nous tend. Leur Métamodèle sert à identifier les imprécisions, obligations, limitations. Il sert également à ouvrir les possibilités et à permettre de reconsidérer les choses.

La maitrise de ces questions est utile dans tous contextes de communication. Que cela soit pour convaincre un client, mener une réunion, écouter activement vos interlocuteurs, recueillir des informations précises ou encore lever les malentendus.
Cet outil linguistique fait la différence et vous permet de gagner du temps et de l’efficacité

En vous formant à l’IFPNL, vous découvrez les questions du Métamodèle dès le 3ème jour de votre module Technicien. Puis, vous prenez l’habitude d’employer des termes précis pour décrire votre expérience et clarifier celle de vos interlocuteurs.

Grace à l’apprentissage du Métamodèle

  • Vous recueillez des informations de qualité
  • Vous clarifiez le sens des mots
  • Vous identifiez les limites auxquelles est confronté votre interlocuteur
  • Vous l’aidez à les dépasser en mettant au jour de nouvelles options.

Avec de l’entrainement, ces questions puissantes deviennent automatiques et affinent votre manière de communiquer et de conduire le changement.

Le Métamodèle est donc un ensemble de questions rangé par catégories. Il permet de compléter et préciser les informations manquantes, de clarifier les jugements, dépasser les limites, etc…

Stéphane DOLLY

Dans le domaine de la communication, la compréhension des dynamiques individuelles est essentielle pour favoriser de bonnes interactions. Le Process Communication Model ® (Process Com) offre une approche systématique et puissante pour décoder les comportements humains, identifier les besoins spécifiques et adapter sa communication en conséquence. Il peut être appliqué dans diverses domaines pour améliorer la communication et les relations interpersonnelles.

Comprendre les fondements du Modèle Process Com ®

Développé par Taibi Kahler dans les années 1970, le modèle Process Com repose sur l’idée que chaque individu possède une structure de personnalité complexe. Composé de six types, connus sous le nom de « processes », chacun influence la manière dont les gens perçoivent le monde, communiquent et interagissent entre eux. En comprenant ces processus et en identifiant le type « dominant » de chacun, on peut ajuster sa communication pour mieux répondre à ses besoins. Voici les 6 types de personnalité que l’on retrouve dans le modèle :

L’empathique : compatissant et sensible, il aime se rendre utile, et a besoin d’être reconnu par les autres. Il souhaite que ces interlocuteurs se sentent bien.

L’analyseur (Travaillomane) : logique et ordonné, il recherche les faits et les classifie. C’est un rationnel structuré qui ame les choses ordonnées.

Le Persévérant : dévoué et consciencieux, il évalue d’abord les personnes et situations. Il souhaite être reconnu et respecté pour ses opinions. Il défend fermement ses points de vue.

Le Promoteur : direct, charmeur, il cherche des sensations fortes et a besoin de faire bouger les choses. Il agit avant tout pour l’action.

L’Imagineur (Rêveur) : calme et imaginatif, il prend le temps dans sa réflexion et a besoin de calme et de solitude. Il est plutôt réservé et exprime peu ses sentiments.

L’énergiseur (Rebelle) : créatif, spontané et ludique, c’est un enthousiaste qui apporte de l’énergie et aime essayer de nouvelles activités.

Applications pratiques du Modèle

L’une des principales utilisations du modèle Process Com® est dans le domaine du leadership et de la gestion des équipes. En identifiant les process dominants de chaque membre de l’équipe, les managers peuvent mieux comprendre leurs motivations, ainsi que leurs modes de fonctionnement. On peut alors développer des stratégies de leadership plus efficaces, telles que l’adaptation du style de gestion, la distribution des tâches en fonction des forces individuelles et la résolution des conflits de manière constructive.

Par exemple, un manager peut adopter une approche plus directe avec un membre de l’équipe dont le process dominant est le Travailleur, tandis qu’il peut encourager la créativité et l’expression d’idées avec un membre dont le process dominant est le Rebelle. De même, lors d’une gestion de conflit, s’il identifie que deux parties ont des process Rebelles dominants, il peut encourager une approche collaborative et créative pour trouver des solutions alternatives qui répondent aux besoins et aux intérêts de chacun.

Dans le domaine de la vente et du service à la clientèle, le modèle Process Com ® peut également être un outil précieux. En adaptant son discours et son comportement en fonction du type dominant de son interlocuteur, un vendeur peut mieux répondre à ses besoins, établir un rapport plus rapidement et augmenter les chances de conclure une vente ou de résoudre un problème de manière satisfaisante.

Par exemple, si un client a un process dominant de Persévérant, qui valorise la stabilité et la sécurité, le vendeur peut mettre l’accent sur les caractéristiques de fiabilité et de durabilité du produit ou du service. Pour un client avec un process Promoteur dominant, il peut adopter une approche plus conviviale et axée sur la relation, en mettant en valeur les avantages sociaux ou les opportunités de réseautage liées à l’achat du produit ou service.

Intégrer le process Communication Model ® dans la vie quotidienne

Au-delà des environnements professionnels, le modèle Process Com ® peut également être appliqué dans les interactions quotidiennes. En comprenant les motivations de chaque individu, on peut améliorer la qualité des relations, favoriser une communication ouverte, et résoudre les conflits de manière constructive. Que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel, la connaissance et l’application du modèle peuvent transformer les interactions humaines, favorisant ainsi une communication plus efficace et des relations plus enrichissantes.

Le modèle Process Com ® est donc un outil puissant pour décoder les comportements humains, et améliorer sa communication interpersonnelle. C’est en identifiant les process dominants de chacun que l’on adapte sa communication en conséquence. Les relations sont ainsi plus productives, plus harmonieuses. En intégrant ce modèle à divers contextes, on peut créer des environnements propices à la croissance et au succès.

Dans notre quête constante de l’épanouissement personnel, il est essentiel de comprendre la différence entre la confiance en soi et l’estime de soi. Ces deux concepts, bien qu’étroitement liés, sont distincts dans leur nature et leur impact sur notre bien-être émotionnel. Les deux ont leur importance dans la construction d’une vie équilibrée.

La confiance en soi

La confiance en soi se réfère à la conviction en nos propres capacités, compétences et talents. C’est la certitude que nous avons les ressources nécessaires pour relever les défis et atteindre nos objectifs. La confiance en soi est souvent associée à des sentiments de compétence, d’assurance et de détermination. Elle se manifeste dans notre capacité à prendre des décisions, à affronter les obstacles et à persévérer face à l’adversité. La confiance en soi est dynamique et peut fluctuer en fonction des expériences vécues, mais elle repose souvent sur des succès passés et des feedbacks positifs.

L’estime de soi

L’estime de soi, d’autre part, est la valeur que nous accordons à nous-mêmes en tant qu’êtres humains. C’est le sentiment fondamental d’être digne d’amour, de respect et de considération, indépendamment de nos réalisations ou de notre statut social. L’estime de soi se développe à partir de nos expériences précoces, de nos interactions avec les autres et de notre propre évaluation de notre valeur intrinsèque. Une estime de soi saine se caractérise par un sentiment de dignité, de respect de soi et de bienveillance envers soi-même, même dans les moments de difficulté ou d’échec.

La nuance entre confiance en soi et estime de soi

La distinction entre la confiance en soi et l’estime de soi réside dans leur orientation. Alors que la confiance en soi se concentre sur nos capacités et nos performances dans des domaines spécifiques, l’estime de soi concerne notre valeur en tant qu’êtres humains. Avoir une confiance en soi élevée peut nous aider à aborder les défis de la vie avec courage et détermination, mais une estime de soi solide est ce qui nous soutient lorsque les obstacles semblent insurmontables. En d’autres termes, la confiance en soi est ce que nous faisons, tandis que l’estime de soi est ce que nous sommes.

Comment cultiver l’équilibre entre ces deux notions ?

Pour une vie épanouie, il est important de cultiver à la fois la confiance en soi et l’estime de soi. Cela signifie reconnaître nos forces et nos faiblesses, célébrer nos succès tout en apprenant de nos échecs, et pratiquer la bienveillance envers nous-mêmes dans tous les aspects de notre vie. En développant ces deux aspects de notre être, nous construisons une base solide pour naviguer avec confiance et dignité à travers les défis et les joies de la vie quotidienne.

La confiance en soi et l’estime de soi sont donc deux piliers essentiels de notre bien-être émotionnel et de notre épanouissement personnel. Comprendre leur différence et cultiver un équilibre sain entre eux peut nous aider à construire une vie fondée sur la confiance, la compassion et la résilience. En reconnaissant notre valeur intrinsèque et en croyant en nos capacités, nous pouvons embrasser pleinement notre potentiel et vivre avec authenticité et joie.

Moins d’un manager sur deux est persuadé de l’impact de la communication sur les performances de son équipe alors qu’il a des objectifs liés à sa mission de communication. Cela signifie que 50% des managers ne sont ni conscients de l’importance d’un management efficace (en termes de communication) vers leurs collaborateurs ni prêts à accepter la rôle de relais de communication.

Or quelle est aujourd’hui la préoccupation des DRH qui se trouvent de plus en plus confrontés à des problèmes de burnout, de harcèlement, de pressurisation liés aux résultats opérationnels ?

Pour eux, les managers doivent être en mesure d’accompagner un individu dans sa singularité et doivent constamment chercher l’équilibre entre l’attention portée à la personne et le projet collectif.

Le manager efficace doit transmettre, expliquer, convaincre, faire adhérer.

Proche de son équipe, il doit s’orienter vers une gestion davantage axée sur l’humain.

On exige du manager qu’il prenne en compte les défis de l’entreprise et qu’en plus il soit proche de ses collaborateurs. Il doit être « équipé » d’un socle de compétences qu’il n’a probablement pas acquis durant ses études.

Par exemple, que l’on parle d’un technicien spécialisé dans son domaine qui doit gérer un moment de sa carrière ou bien d’un ingénieur tout juste sorti d’une grande école, ils n’ont pas, pour la plupart, appris à être manager et à communiquer avec leurs équipes.

L’entreprise a compris que la communication était la clef de voute du dispositif de management.

Pour répondre à ce besoin, l’IFPNL propose une formation Communication managériale efficace. En effet, aujourd’hui lorsque nous parlons de communication efficace, nous parlons forcément de PNL sans le dire.

La PNL, c’est quoi ? Comment développer un management efficace ?

La PNL est un ensemble de techniques qui permettent de mettre en œuvre une communication managériale efficace.

Depuis bien longtemps, la PNL (et maintenant les neurosciences) ont permis de mettre en évidence l’importance de la qualité de la communication dans la motivation d’une équipe pour atteindre ses objectifs avec succès.

Il faut savoir que l’approche PNL est née de l’observation d’experts dans leur domaine qui réussissaient. Les fondateurs ont observé sur le terrain les bons managers qui réussissaient à mobiliser leurs équipes et à atteindre leurs objectifs. Ils se sont rendu compte qu’avec les mêmes diplômes, certains étaient efficaces et d’autres non.

D’où la question posée : d’où vient cette efficacité ? Quelle est la différence entre les uns et les autres ? Ils les ont modélisés et ont constaté que ceux qui réussissaient étaient d’excellents communicants.

A partir de ces observations, ils ont mis au point un ensemble de techniques pour communiquer avec efficacité, et ce sont ces techniques que nous avons recensées dans notre formation Mettre en œuvre une communication managériale efficace.

Françoise DUCREUX