L’un des principaux présupposés de la PNL implique que chaque être humain a sa propre représentation de la réalité et du monde qui l’entoure.

Edwige raconte l’anecdote suivante :

« Dans ma famille, c’était une tradition d’acheter des gâteaux le dimanche et lorsqu’arrivait le moment du dessert, les premiers servis étaient les enfants, à commencer par le plus petit. Puis venait le tour des plus grands et enfin des adultes.

Lorsque j’ai rencontré la famille de celui qui deviendrait mon mari, j’ai découvert, stupéfaite, que le même rituel des « gâteaux du dimanche » obéissait à des lois inverses ! Les premiers servis étaient les adultes. Les enfants devaient attendre ! »

Deux familles, deux cartes ou si l’on préfère deux visions du monde. L’une est-elle plus juste que l’autre ? Qui peut le dire ?

De même que la carte de la France n’est pas la France mais une représentation de celle-ci, chacun de nous construit sa représentation de la réalité, réalité à laquelle nous ne pouvons accéder de manière « objective », du fait des « filtres » qui en limitent notre perception.

Ces filtres sont de trois ordres :

  • Filtres génétiques. Nous appartenons à l’espèce humaine. Notre cerveau et notre système nerveux nous distinguent donc d’autres espèces : nous n’entendons pas certains sons perceptibles par les chiens. Nous n’avons pas la même vision que les mouches !
  • Filtres culturels. Les Inuits voient plus de trente nuances de neige. Nous sommes loin du compte même si nous avons l’habitude de prendre des vacances en montagne l’hiver !
  • Filtres personnels. Notre éducation, nos expériences, nous ont dotés d’une certaine vision du monde qui n’est par conséquent pas la même que celle de notre voisin.

C’est pourquoi la PNL nous invite à découvrir nos interlocuteurs plutôt que de projeter sur eux notre modèle du monde.

Découvrir c’est donc :

  • Observer sans interpréter.
  • Ecouter sans juger.
  • Questionner sans induire.

Un bon moyen pour y parvenir : se centrer sur l’autre et non pas sur soi. Etre « toutes antennes dehors ».

Souvenons-nous que le seul qui puisse savoir ce qu’il vit, pense et ressent, c’est l’autre ! Lui seul est l’expert de lui-même !

Hélène Blanchard.

Le coaching professionnel est bien plus qu’un métier : c’est une vocation. Dans un monde en constante évolution, où les individus et les organisations cherchent à s’adapter et à se dépasser, le rôle du coach devient indispensable. Que vous envisagiez une reconversion ou que vous souhaitiez enrichir vos compétences en accompagnement au sein de votre entreprise, une carrière de coach professionnel à Paris peut être envisagée.

Coach Professionnel : un métier en plein essor

Le coaching professionnel connaît une croissance exponentielle depuis plusieurs années. En France, on parle d’une croissance annuelle d’environ 10 % depuis 2018 (Source : Opiiec). Les raisons sont nombreuses :

  • Demande dans les entreprises : Les organisations, petites et grandes, recherchent des coachs pour accompagner leurs équipes et leurs dirigeants dans des périodes de transformation ou de crise.
  • Intérêt pour le développement personnel : Les particuliers souhaitent mieux se connaître, améliorer leur estime de soi et atteindre leurs objectifs.
  • Reconnaissance de la profession : Aujourd’hui, le coaching est perçu comme une démarche sérieuse et efficace, soutenue par des formations de qualité et des normes déontologiques.

Un métier humain et enrichissant

Être coach pro, c’est avant tout accompagner les individus et les équipes vers la réussite et l’épanouissement professionnel. Ce métier repose sur certaines valeurs :

  • L’écoute active
  • La transformation positive : Vous aidez vos coachés à dépasser leurs blocages, identifier leurs forces et atteindre leurs objectifs.
  • La contribution : Vous avez un impact concret et durable sur la vie des autres, qu’ils soient cadres, dirigeants ou salariés.

Cette dimension humaine fait du coaching une activité gratifiante, où chaque succès de vos clients devient aussi le vôtre.

Une grande flexibilité pour les coachs professionnels

Le coaching est l’un des rares métiers qui offre une certaine souplesse en termes de carrière :

  • Indépendance : Beaucoup de coachs choisissent de devenir indépendants, ce qui leur permet de gérer leur emploi du temps et de choisir leurs missions.
  • Diversité des clients : Vous pouvez travailler avec des particuliers, des entreprises, des associations ou même des collectivités.
  • Travail hybride : Grâce aux outils numériques, le coaching peut s’exercer en présentiel ou à distance, élargissant ainsi votre champ d’action.

Des opportunités dans de nombreux secteurs

Le coaching professionnel ne se limite pas au développement personnel. En vous formant, vous pourrez intervenir dans des domaines variés, tels que :

  • Coaching d’équipe : Accompagner les managers et leurs équipes pour améliorer leur cohésion et leur performance.
  • Coaching de carrière : Aider les individus à naviguer dans leurs transitions professionnelles (reconversion, promotion, recherche d’emploi).
  • Coaching de dirigeants : Travailler avec des leaders pour optimiser leur leadership et leur prise de décision.
  • Coaching de vie (life coaching) : Aider les particuliers à trouver un meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle.

Devenir Coach Professionnel : une réponse à des aspirations personnelles ?

Beaucoup de personnes se tournent vers le coaching professionnel pour répondre à leurs propres besoins de sens et d’accomplissement. Ce métier vous permet de :

  • Aligner votre vie professionnelle avec vos valeurs
  • Apprendre en continu
  • Créer un impact durable

Se lancer dans une carrière de Coach Professionnel

Que vous soyez un professionnel de l’accompagnement ou que vous envisagiez une reconversion, une formation coach adaptée vous permettra d’acquérir les compétences nécessaires. À l’IFPNL, notre programme « Développer son activité de coach professionnel » à Paris offre un parcours complet et certifiant qui vous prépare à :

  • Maîtriser les techniques essentielles du coaching
  • Développer une activité professionnelle pérenne
  • Accompagner vos clients avec professionnalisme et éthique.

En choisissant une formation coach professionnel de qualité, comme celle proposée par l’IFPNL à Paris, vous accédez à un réseau de professionnels expérimentés et à des outils qui vous permettront de réussir dans ce métier passionnant.

Vous êtes prêt(e) à devenir coach professionnel ? Contactez-nous pour en savoir plus sur notre formation à Paris et démarrez votre nouvelle carrière dès maintenant !

IFPNL mon compte formation (CPF)

La communication est un outil essentiel dans le monde actuel, et plus particulièrement dans le milieu professionnel. Afin de vous aider à développer vos compétences dans ce domaine, l’IFPNL propose la formation « Mettre en œuvre une communication efficace », qui est désormais éligible au Compte Personnel de Formation (CPF). Cette formation s’appuie sur les outils de la PNL pour vous permettre de mieux communiquer, comprendre vos interlocuteurs et vous adapter à différentes situations.

Une Formation IFPNL au CPF, cela signifie quoi ?

Le Compte Personnel de Formation (CPF) est un dispositif qui permet à toute personne active, salariée ou en recherche d’emploi, d’accumuler des droits à la formation. L’éligibilité d’une formation au CPF signifie qu’une certification a été validée et enregistrée auprès France Compétences. Vous pouvez utiliser les crédits accumulés sur votre compte CPF pour financer partiellement ou en totalité votre formation.

Ainsi, la formation « Mettre en œuvre une communication efficace » prépare à une certification enregistrée au Répertoire Spécifique. Cette formation permet l’acquisition de compétences transverses indispensables au monde profesionnel. Vous pouvez donc mobiliser vos heures CPF pour acquérir ces compétences essentielles en communication. Cette formation PNL au CPF vous offre l’opportunité de découvrir et de maîtriser certaines techniques PNL.

Pourquoi utiliser le CPF pour se former aux outils PNL ?

La Programmation Neuro-Linguistique (PNL) est une approche puissante qui aide à comprendre comment les gens pensent, ressentent et réagissent. En intégrant ces techniques à votre communication, vous pouvez ainsi mieux écouter, adapter votre discours et gérer les situations complexes ou conflictuelles avec plus d’efficacité dans un milieu professionnel. La PNL vous permet de vous exprimer plus clairement et d’améliorer vos relations avec les autres tout en fixant des objectifs concrets et mobilisant des ressources pour les atteindre.

C’est donc une excellente manière d’approfondir vos compétences tout en profitant d’un financement adapté à vos besoins de formation.

Comment s’inscrire à la formation IFPNL au CPF « Mettre en œuvre une communication efficace » ?

Pour vous inscrire, connectez-vous à votre espace MoncompteFormation (CPF) et rechercher la formation « Mettre en œuvre une communication efficace ». N’oubliez pas, cette formation se déroule uniquement en présentiel, dans notre centre de Paris (75015) ou Lyon (69002).

Sélectionnez la bonne formation, puis envoyez-nous un devis que nous validerons avec des dates préalablement sélectionnées. Vous pouvez également nous contacter pour obtenir plus d’informations sur les modalités pratiques.

Dans le vaste paysage du développement du potentiel humain, les Interventions Orientées Solution (IOS) ont gagné en popularité en tant qu’approche efficace et constructive pour résoudre les problèmes et créer des changements positifs dans la vie des individus. Conçues et développées par Steve de Shazer et Insoo Kim Berg à la fin des années 1970, les Interventions Orientées Solution offrent un cadre pragmatique pour résoudre les problèmes en mettant l’accent sur la recherche de solutions, souvent simples et diverses, plutôt que sur l’analyse des difficultés. Le cadre ainsi créé permet de mettre en œuvre les moyens d’atteindre les objectifs visés.

Les fondements des Interventions Orientées Solution

L’approche IOS repose sur une vision audacieuse : chaque individu possède déjà en lui les ressources nécessaires pour surmonter les défis qu’il rencontre. Plutôt que de s’attarder sur les aspects négatifs et les causes des problèmes, elle encourage à se tourner vers les solutions et les forces de l’individu. Au lieu de se demander pourquoi un problème survient, on se concentre sur la manière de le résoudre et sur les actions concrètes à entreprendre pour y parvenir.

Principes clés de l’approche IOS

L’approche IOS repose sur plusieurs principes fondamentaux qui guident son application pratique :

  1. Orientation vers les solutions : Plutôt que de se laisser submerger par les problèmes, l’accent est mis sur la recherche de solutions, encourageant ainsi l’identification des objectifs et l’exploration des moyens pour y parvenir.
  2. Collaboration et co-création : L’accompagnant, thérapeute, coach ou manager et le ou les « clients » (individu ou équipe) travaillent en partenariat pour définir les objectifs, explorer les solutions possibles et mettre en œuvre les changements nécessaires.
  3. Exploration et utilisation des exceptions : Au lieu de se focaliser sur les moments où le problème survient, l’approche IOS recherche les exceptions, c’est-à-dire les moments où le problème ne se produit pas ou est moins intense. Cela permet de comprendre ce qui fonctionne déjà et de l’amplifier : quelles sont les ressources qui interviennent dans ces moments d’exception et comment les mettre en œuvre, aujourd’hui pour atteindre nos objectifs.
  4. Petits pas et changements progressifs : L’approche IOS encourage à procéder par petits pas progressifs plutôt que de chercher des transformations radicales. Elle souligne l’importance de célébrer les progrès, même les plus modestes, car ils contribuent à renforcer la motivation et la confiance en soi.

Applications pratiques de l’approche

Les IOS se pratiquent déjà dans de nombreux domaines, notamment le coaching professionnel et le management. Cette approche est particulièrement efficace pour traiter les problèmes tels que le stress, l’anxiété, la perte de motivation, les conflits relationnels et les défis professionnels. Pratiquées individuellement ou en équipe, les IOS permettent de solliciter la créativité, la motivation et la confiance en soi, moteurs de réussite.

En mettant l’accent sur les solutions et en mobilisant les ressources internes du ou des individus, les Interventions Orientées Solution favorisent le développement et le renforcement des compétences d’adaptation ainsi que des nombreuses ressources existantes et souvent méconnues, permettant ainsi de surmonter les obstacles et d’atteindre les objectif à court et moyen terme.

Vous souhaitez appréhender cette approche et vous former à la méthode ? Découvrez nos prochaines dates et le programme détaillé dans notre catalogue ! Une formation animée par notre experte et enseignante Hélène Blanchard

Le temps en PNL est une dimension incontournable de la discipline, elle est un élément central de notre expérience d’être humain. C’est une condition nécessaire pour nous structurer et donner un cadre à notre Modèle du Monde. Mais comment notre système nerveux traite-t-il la notion de temps ?
Comment savoir si une image que nous avons en tête appartient au passé, au présent ou qu’elle est une projection du futur ? Il y a forcément des différences dans la manière dont nous pensons à un souvenir passé ou à un événement futur.

Représenter le temps grâce au modèle PNL

Grâce à notre système nerveux nous avons deux façons de nous représenter le temps qui passe :

  • Nous pouvons considérer les trois dimensions Passé/Présent/Futur ensemble, comme une succession d’instants qui s’enchainent et nous avons alors une perception linéaire du temps qui passe, comme une vision panoramique. On dit en PNL que nous sommes « dissocié du temps ».
  • Nous avons aussi la possibilité de nous plonger dans chaque instant, qu’il soit passé ou futur nous pouvons nous mettre « dedans », c’est à dire vivre les émotions et les sensations comme si on y était. On dit en PNL qu’on est alors « associé au temps ».

Organiser le temps qui passe en PNL

D’un point de vue PNL, nous disposons tous d’un moyen commun pour organiser nos images mentales. Nous les plaçons différemment dans notre espace mental et cela nous permet ainsi de trier les informations entre Passé, Présent et Futur.

Ces représentations ont des implications sur notre manière de penser au temps qui passe.

En voici quelques exemples :

  • Si vous imaginez le passé placé droit devant vous, il peut attirer tout le temps votre attention
  • Si vous imaginez le passé placé derrière vous, il peut devenir comme invisible quand vous regardez devant (le passé est vraiment passé)
  • Si vous imaginez le futur devant vous avec de grandes images en couleur, cela peut vous aider à mener des projets à long terme
  • Si vous imaginez le futur collé à votre nez avec un ensemble d’images floues, cela peut vous faire éprouver un sentiment d’urgence avec des pensées comme « je dois tout faire au plus vite », « il faut tout faire en même temps » ou encore « je ne sais pas par quoi commencer »
  • Si vous imaginez le futur placé derrière vous ou sur le côté, vous n’arrivez pas à le voir et cela peut être un frein pour envisager ou projeter de nouveaux projets

La Ligne de temps en Programmation Neuro-Linguistique

Parmi les outils que vous découvrez au cours de votre formation en PNL, il y a notamment l’utilisation de la Ligne de Temps. C’est une ligne placée en imagination sur le sol, qui représente votre Passé, votre Présent et votre Futur, en relatant la façon dont votre système nerveux stocke cette mémoire temporelle. La Ligne de Temps représente votre histoire de vie, dans l’espace, ici et maintenant :

  • Vous pouvez la disposer devant vous ou à côté de vous et envisager Passé / Présent / Futur en même temps, avec recul.
  • Ou bien vous pouvez imaginez que cette ligne vous « traverse » avec le futur d’un côté, et le passé de l’autre tandis que vous êtes positionné dans le présent.

En représentant simplement dans l’espace la notion du temps qui passe, La Ligne de Temps en PNL est un outil concret pour se « déplacer » dans le temps et conduire des interventions de changement qui servent entre autres à :

  • Se libérer d’état interne limitant
  • Restructurer ses souvenirs
  • Prendre de nouvelles décisions
  • Projeter son Futur

Des distinctions pour penser le temps avec la PNL

La PNL fait d’autres distinctions intéressantes utiles à propos de nos façons de penser le temps. Par exemple : Qu’est ce qui nous sert de référence temporelle pour faire des choix et pour agir ?

Dans un même contexte, certaines personnes agissent en fonction du Passé. D’autres agiront en fonction du Présent et d’autres encore puisent leurs références dans le Futur.

Exemple :

  • J’invite des amis à venir déjeuner dimanche (Contexte)
  • Je le fais parce que j’ai l’habitude de le faire ? (Référence au passé)  
  • Je les invite en ayant en tête les conséquences de ce moment agréable => Lundi je serai plus détendu au bureau ?  (Référence au futur)

Cette manière de nous référer au temps pour nous motiver, faire des choix et agir a aussi des implications sur notre monde émotionnel.

Par exemple, par rapport à une même situation

  • Une personne plutôt orientée Passé peut ressentir des sentiments comme du regret, du remord, de la nostalgie etc. (ces sentiments font référence au passé).
  • Une personne orientée Présent peut être davantage dans le plaisir.
  • Une personne orientée Futur peut ressentir de l’impatience, de l’appréhension ou de l’anxiété etc. (ces sentiments font référence au futur).

Les trois dimensions temporelles de notre Modèle du Monde

Passé / Présent / Futur : les trois dimensions temporelles sont nécessaires et nous donnent un cadre, une structure pour vivre votre vie et nous aider à organiser notre Modèle du Monde.

D’une manière générale on peut donc dire que :

  • Le Passé est utile pour faire de bilans, en tirer des conclusions et des apprentissages utiles
  • Le Présent est utile pour agir et pour sentir le choses
  • Le Futur est utile pour nous projeter, anticiper et faire des projets

Stéphane DOLLY

Grâce à la popularité du travail du psychologue Daniel Goleman, l’expression « intelligence émotionnelle » fait désormais partie du langage commun. On peut simplement définir l’intelligence émotionnelle comme l’ensemble des capacités d’une personne pour comprendre ce qu’elle ressent, reconnaitre les émotions et les sentiments des autres et utiliser ces informations pour ajuster son comportement et sa communication.

En PNL, on appelle « état interne » ce que vous ressentez à un instant T (émotion, sentiment et sensations corporelles associées). Depuis près de 50 ans, la PNL est une approche de la communication et du changement, complète et structurée, qui donne des applications concrètes à la notion d’intelligence émotionnelle en aidant chacun à agrandir sa « carte émotionnelle ». C’est-à-dire à mieux conscientiser ses états internes, mieux les réguler, mieux les assumer, et mieux identifier ceux des autres.

Développez vos compétences émotionnelles avec la PNL

Dès le début de votre formation, vous comprenez que vos pensées, vos états internes et vos comportements sont intimement liées au cœur de votre système nerveux et tous les outils que nous vous présentons au long de votre parcours s’accompagnent de nombreux exercices afin d’améliorer votre communication et d’avoir plus de choix de penser, ressentir et agir.

Ainsi, une formation en PNL muscle vos compétences émotionnelles pour que vous puissiez les utiliser dans votre sphère privée comme dans votre contexte professionnel. En effet, ces compétences sont utiles aussi bien avec votre hiérarchie, vos équipes, vos collaborateurs qu’en famille ou avec vos amis.

Voici quelques exemples de compétences concrètes que vous apprenez au cours de votre formation à l’IFPNL pour développer votre intelligence émotionnelle :

  • Créer un climat de confiance et sécurité avec vos interlocuteurs
  • Distinguer les faits de vos interprétations
  • Observer une situation sous différents points de vue
  • Réguler l’intensité de ce que vous ressentez
  • Préparer votre message pour dire ou demander quelque chose à quelqu’un
  • Clarifier un objectif et savoir comme l’atteindre, au moyen de quels états internes
  • Choisir votre état interne selon le contexte et selon votre objectif
  • Poser des questions précises pour communiquer avec clarté et précision
  • Lever les malentendus dans la communication et apaiser les conflits
  • Reconsidérer vos expériences passées pour ainsi en tirer de nouvelles conclusions

L’éthique de l’IFPNL au service de votre intelligence émotionnelle

La philosophie de la PNL avec ses présupposés sur l’être humain, la communication et les relations, nous offre un cadre éthique pour vous proposer tout au long de votre parcours des techniques efficaces qui favorisent l’intelligence émotionnelle.

Dans toute activité humaine où l’on a besoin de communiquer, il est essentiel d’accorder autant d’importance à la clarté de son propos qu’à sa sensibilité : votre état interne compte autant que votre état d’esprit. Les deux s’influencent réciproquement pour vous mettre dans les meilleures conditions possibles et vous donner de l’impact… ou pour vous mettre dans des conditions limitantes et vous empêcher de transmettre votre message.

Valoriser vos compétences émotionnelles est un enjeu majeur pour pouvoir collaborer avec les autres et gérer au mieux les coups de stress.

Dans l’esprit bienveillant et éthique de l’IFPNL vous pouvez donc tirer tous les bénéfices d’une formation en PNL pour développer votre intelligence émotionnelle.

Stéphane DOLLY.



Nous avons des croyances sur tout : sur la vie, le monde, les autres, l’amour, l’argent, nous avons sur nous-même… C’est le cœur battant de notre Modèle du Monde !

Une croyance en PNL est une affirmation que je pense vrai. C’est une certitude que j’ai dans mon Modèle du Monde. C’est une généralisation que je fais pour donner du sens à ce que je vis et à qui je suis en tant que personne. D’ailleurs ce que nous appelons « personnalité » d’un point de vue PNL est l’ensemble des croyances que nous avons sur nous-même.

Différentes formes de croyances selon la PNL

Nos croyances peuvent prendre différentes formes comme :

  • La cause que nous donnons à une situation
    • « Ce sont les charges sociales élevées qui causent le chômage »
  • Le sens que nous donnons à une situation 
    • « Franck ne me sourit jamais, il n’apprécie pas mes efforts »
  • Une possibilité que nous avons
    • « Avec son diplôme Mélanie trouvera un bon travail »
  • Une limite que nous rencontrons
    • « Quand je raconte une histoire je suis ennuyeux »

Nos croyances traduisent en affirmations personnelles nos valeurs et nos critères, c’est-à-dire tout ce qui est important pour nous. Par exemple si la liberté est une de mes valeurs, alors je peux penser que « travailler en indépendant » est un moyen de m’épanouir. Si nos valeurs nous disent POUR QUOI nous agissons, nos croyances indiquent POURQUOI nous agissons tel que nous le faisons.

Elles sont fondamentales dans notre expérience d’être humain car c’est à partir de nos croyances que nous pouvons mettre en œuvre nos capacités et nos comportements : lorsque nous croyons quelque chose, alors nous agissons comme si cela était vrai.

On pourrait représenter l’ensemble de nos croyances comme un arbre : nous avons des croyances profondes comme les racines d’un arbre, des croyances massives comme le tronc, et autour, il y a d’autres croyances plus ou moins solides comme les branches et comme les feuilles d’un arbre.

La PNL décrit comment nous installons nos croyances

Nous installons des croyances dès la petite enfance, dès que nous pouvons donner du sens à notre vécu.

A l’origine de nos croyances il y a :

  • La culture dans laquelle nous évoluons, notre environnement, notre éducation
  • Les personnes qui nous ont élevés et leurs attentes envers nous
  • Les expériences que nous avons vécues, en particulier celles qui nous ont marquées émotionnellement et celles qui se sont répétées

En grandissant nous confirmons et nous validons nos croyances pour donner de la cohérence et un caractère prévisible à notre Modèle du Monde (qui est, en PNL, comme une boussole pour nous diriger dans la vie). On peut même dire que chaque jour qui passe est une occasion de valider ce que nous croyons, tellement notre Modèle du Monde a besoin de stabilité et de permanence pour continuer à nous guider.

Ainsi, nous interprétons tout ce que nous vivons à travers le filtre de nos croyances : à partir d’une expérience à laquelle nous donnons du sens, nous généralisons notre interprétation et elle peut devenir une croyance généralisée qui sera plus ou moins aidante et plus ou moins limitante selon le contexte. Et c’est à partir de nos croyances que nous donnons du sens à notre passé ou que nous créons des plans pour notre futur.

Se former et travailler sur les croyances

En PNL, nous faisons plusieurs distinctions utiles à propos des croyances :

  • Une croyance peut être aidante pour atteindre un objectif, obtenir ce que l’on veut et nous épanouir, ou elle peut être limitante
  • Une croyance est plus ou moins consciente et plus ou moins explicite quand nous l’exprimons
  • Il existe des croyances à propos de « ce qui est » et des croyances à propos de « ce qu’il convient de faire », ce qu’on appelle des règles
  • Plus une croyance est généralisée, plus elle peut être limitante
  • Nos croyances forment entre elles un système de liens qu’on appelle liens d’équivalence (« ceci prouve cela ») et liens de cause effet (« ceci a comme conséquence cela »)

Une idée clé que nous enseignons au cours de votre formation à l’IFPNL : les croyances ne sont pas figées et la PNL nous donne des moyens concrets de les mettre au jour et de les faire évoluer. Oui, vous pouvez prendre conscience de croyances limitantes et vous libérer pour adopter de nouvelles croyances plus aidantes qui vous permettront de satisfaire ce qui est important selon vous dans votre vie.

Les techniques de mise au jour et de changement de croyances sont présentes dès le module Technicien en PNL avec l’apprentissage du Méta-modèle puis  au module Praticien en PNL vous apprenez comment les identifier et les faire évoluer et enfin le module Maitre-Praticien en PNL rassemble de nombreuses techniques pour accompagner le changement de croyances.

Stéphane DOLLY

Se former en PNL crée de nouvelles opportunités pour comprendre les autres et interagir avec plus d’efficacité. A l’IFPNL, vous découvrez à chaque niveau, de nouvelles informations sur ce qui différencie chacun d’entre nous en matière de communication et de comportement et comment aborder au mieux ces différences.

A ce sujet, l’utilisation des méta-programmes est une application pratique de la PNL particulièrement utile dans les relations professionnelles, afin de prévoir les comportements des uns et des autres et de pouvoir s’y adapter.

Les méta-programmes, qu’est-ce que c’est ?

Les méta-programmes sont des processus mentaux qui agissent comme des filtres.

Nous les utilisons de manière inconsciente, automatique pour percevoir l’information, la traiter et choisir comment agir. C’est à partir de ces filtres que nous dirigeons nos comportements. Même si ce sont des processus cognitifs, ils apparaissent dans le langage que nous employons. Il est donc utile d’apprendre à les repérer. Depuis le Technicien jusqu’en Maitre Praticien, nous vous présentons une sélection et une classification des principaux méta-programmes.

Des méta-programmes dans chaque contexte de la vie

En tant qu’être humain, nous abordons chaque situation que nous vivons, en ne laissant entrer que certaines informations et en en bloquant d’autres. Nous filtrons de manière automatique ce que nous percevons et ce que nous évaluons dans notre système nerveux.

Il nous appartient donc d’éclairer ce fonctionnement pour pouvoir agrandir nos choix de comportements et nos manières d’interagir.

Dans ce but, les journées de formation consacrées aux méta-programmes nous apprennent à décoder comment nous percevons les informations dans notre environnement, comment nous les organisons à l’intérieur de nous-même et comment nous nous motivons à faire des choix, à prendre des décisions et à agir.

Par exemple, dans chaque contexte de notre vie, nous prêtons attention à certaines choses, à certains aspects du monde extérieur plutôt qu’à d’autres :

  • Dans une réunion, certains d’entre vous aiment les détails, les points spécifiques alors que d’autres sont plus à l’aise avec les informations globales, les sujets dans leur ensemble.
  • Quand il s’agit de commercialiser un produit ou de lancer une nouvelle campagne,
    certains sont attirés par les différences, là où d’autres recherchent ce qui est déjà connu ou similaire.
  • Pour se motiver dans tâche certaines personnes cherchent ce qu’elles valorisent comme « la liberté » ou « la collaboration », tandis que d’autres évitent ce qu’on appelle des anti-critères ou anti-valeurs comme « la médiocrité », « la répétition » ou « la solitude ».
  • Nous avons aussi une manière bien personnelle d’évaluer une situation : soit nous l’évaluons à partir de notre propre point de vue, sur la base de ce qu’on pense être approprié ou nous l’évaluons à partir du point de vue des autres, sur la base de ce que les autres pensent être approprié. Et dans ce cas, nous attendons des autres qu’ils nous disent quoi faire, quoi obtenir ou comment le faire.

Ce sont-là quelques-uns des méta-programmes à repérer. L’étape suivante consiste à employer un langage qui permet de tenir compte de ce fonctionnement pour affiner sa communication et se synchroniser davantage sur son interlocuteur.

Les bons mots facilitent le rapport et les prises de décision.

Car les méta-programmes se repèrent à travers le choix des mots. Le langage qu’une personne emploie montre concrètement ce dont elle a besoin pour se motiver, pour se décider, pour se convaincre ou encore comment elle va se comporter dans une situation spécifique, quelles informations vont l’intéresser en priorité, sur quoi elle va spontanément diriger son attention etc.

Une fois que vous repérez ses méta programmes, vous pouvez alors ajuster votre communication et choisir des mots qui lui parlent vraiment et qui le poussent à agir.

C’est comme un jeu autour des questions à poser et en écoutant comment l’autre répond.
En PNL, le langage permet d’influencer l’autre avec intégrité et bien souvent, ce qui nous limite, c’est la pauvreté de notre communication et notre manque de flexibilité dans le choix des mots.

Les méta-programmes, des clés de notre fonctionnement

L’utilisation des méta-programmes montre de manière concrète que :

  • On peut mieux comprendre le fonctionnement de l’autre en utilisant ses propres mots
  • On peut prévoir sa réaction en se basant sur les mots qu’il exprime
  • On peut l’influencer positivement en choisissant un langage qui le met en action

Clairement, quand on comprend mieux la personne avec laquelle on interagit, il devient alors possible de créer un meilleur climat de travail et de collaboration.

C’est une des raisons pour lesquelles les méta programmes sont utilisés dans le monde professionnel pour atteindre de nombreux objectifs :

  • Etablir des rapports efficaces
  • Conduire le changement (équipes, organisations)
  • Concevoir des campagnes de publicité et de marketing
  • Attirer et choisi des collaborateurs motivés
  • Améliorer ses capacités de négociation
  • Adapter son discours pour satisfaire le plus d’audience
  • Guider les clients avec clarté et efficacité
  • Organiser et préparer des présentations efficaces

Stéphane DOLLY.

Parmi nos hypothèses de travail – ce qu’on appelle les présupposés de la PNL – il y a une affirmation principale « La Carte n’est pas le Territoire ». On peut simplement expliquer cette phrase en disant que chacun a sa conception personnelle de la vie, chacun a sa propre logique.

A partir des expériences vécues depuis notre arrivée au monde, nous construisons notre propre carte du monde ou notre propre Modèle, ce qui nous permet de nous orienter dans la vie et avec les autres. C’est ce qu’on appelle en PNL la Carte du Monde ou le Modèle du Monde.

Notre système nerveux dessine cette carte du monde extérieur en utilisant nos sens et d’autres filtres comme nos intérêts, nos références (ce que l’on appelle Valeurs et Critères en PNL), nos schémas de pensées et tout ce que nous pensons vrai (ce que l’on appelle Croyances en PNL).

La PNL s’intéresse donc à la façon dont nous élaborons notre Modèle du Monde, à sa cohérence, et aux différents filtres qui constituent cette carte.

Qu’est-ce qu’un modèle en PNL ?

La notion de Modèle du Monde a des implications importantes car :

  • Un modèle est conçu pour décrire, simplifier et être utile
  • Un modèle désigne ce qui sert de référence
  • Un modèle désigne aussi le résultat d’un processus de modélisation

Autrement dit, notre Modèle du Monde est à la fois une simplification utile du monde extérieur, une référence pour nous diriger dans la vie et il est le résultat de ce que nous avons modélisé depuis notre arrivée au monde. C’est notre propre Carte du Monde en PNL.

La Carte représente le territoire

En tant qu’être humain nous ne sommes pas en contact direct avec le monde extérieur mais nous utilisons nos 5 sens pour percevoir des informations de ce « territoire » : images, sons, sensations, odeurs et gouts… Chacun d’entre nous possède une ou plusieurs modalités sensorielles préférées (selon le contexte) pour entrer en contact avec le monde extérieur et en percevoir les informations.

Ces perceptions sensorielles sont traitées par le système nerveux central sous forme de représentations et sont codées avec le langage. L’ensemble de nos perceptions et de nos représentations structure notre pensée.

Quand on dit de la PNL qu’elle étudie la structure de l’expérience subjective humaine, c’est parce qu’elle décrit la façon dont nous organisons cet ensemble de perceptions et représentations sous forme d’une Carte du Monde ou Modèle du monde.

La PNL s’intéresse aussi à la manière dont nous utilisons le langage pour penser et pour communiquer ainsi qu’à la façon dont nous agissons pour obtenir des résultats.

Une Carte du Monde et des filtres

Résumons : Pour entrer en contact avec le monde extérieur, nous utilisons nos sens et à partir de ces informations sensorielles, nous nous créons un ensemble de représentations qu’on appelle Carte du Monde ou Modèle du Monde.
Bien sûr, par le simple fait que nous sommes limités par nos 5 sens, nous ne pouvons percevoir qu’une partie du monde extérieur. Et la représentation que nous nous en faisons est encore filtrée par notre culture et notre histoire personnelle.

Ainsi, chacun vit dans une réalité qu’il construit à partir de ses perceptions et de ses représentations. En PNL on dit que chacun pense, ressent et agit sur la base de son Modèle du Monde. Ce modèle est une simplification du monde extérieur, comme « une carte » qui représente « le territoire ».

L’hypothèse de base de la PNL est claire : nos difficultés, nos problèmes ne sont pas dans le monde lui-même, mais plutôt dans les filtres au travers desquels nous le percevons et nous nous le représentons. Le but d’un travail en PNL est donc d’enrichir notre Carte du Monde, de l’agrandir en y ajoutant davantage de choix pour penser, ressentir et agir.

Stéphane DOLLY.

Tout au long de votre parcours à l’IFPNL, les formateurs portent une attention particulière à votre motivation, état interne incontournable pour vous soutenir dans votre apprentissage et votre pratique. Découvrez comment booster votre motivation avec la PNL.

En PNL, on s’intéresse à la motivation selon différents aspects :

  • Comment une personne fait elle pour se motiver ?
  • Comment s’y prend-elle dans sa tête ?
  • Qu’est-ce qu’elle se dit, qu’est-ce qu’elle se fait comme images mentales ?
  • Qu’est-ce qu’elle ressent dans son corps ?

La PNL éclaire la notion de motivation de façon pragmatique :

  • La motivation est toujours à l’intérieur de soi.
    Aborder nos comportements, nos actions et nos objectifs selon ce point de vue est très aidant. Cela permet de se détacher autant que possible des conditions extérieures et de ne plus faire dépendre sa motivation d’éléments sur lesquels nous n’avons pas ou peu de contrôle (et qui, de fait, peuvent créer des sentiments de frustration, découragement, abattement etc.)
  • Un objectif est motivant s’il est relié à des valeurs personnelles, c’est-à-dire à des références importantes pour nous. Pour pouvoir nous sentir motivé(e), il s’agit de bien choisir un objectif qui cherche à satisfaire une ou plusieurs valeurs importantes pour nous.

Activer la motivation avec la PNL

Un moyen de déclencher la motivation est de mettre au jour et de se brancher sur les méta-programmes. En PNL, les méta-programmes sont des processus cognitifs, des schémas de pensées. Il en existe des spécifiques liés à la notion de motivation.

Par exemple, dans un contexte, certaines personnes se motivent à agir à partir d’un d’évitement : elles sont motivées par « éviter de perdre de l’argent », « éviter de se retrouver seul(e) », « éviter de faire des erreurs » etc. Il est utile, pour communiquer avec elles efficacement, de leur parler de tout ce qu’elles peuvent éviter comme problème ou difficulté en agissant ou en atteignant leur objectif.

Dans le même contexte, d’autres personnes se motivent à agir à partir de ce qu’elles recherchent : elles poursuivent quelque chose, elles vont vers ce qui est important pour elles. Elles sont motivées pour « gagner un meilleur salaire », « cultiver l‘écoute dans leur équipe », « marquer leur indépendance » etc. Il est utile dans un échange, de les brancher sur les conséquences positives de l’atteinte de leur objectif et de les projeter dans un futur constructif.

Les mots de la motivation avec la PNL

Un autre méta-programme utile à repérer à propos de la motivation concerne les modalités (les tournures verbales) qu’une personne utilise dans un contexte pour se motiver :

« J’ai envie de passer cet entretien » 

Elle est sensible à son plaisir, à sa liberté, à son enthousiasme

« Je dois passer cet entretien », « Il faut que je passe cet entretien » 

Elle est sensible aux obligations, aux phrases qui marquent la nécessité, la rigueur ou la discipline

« Je peux passer cet entretien »

Elle a une préférence pour les possibilités et les capacités 

En matière de communication, il est essentiel de repérer et d’utiliser des mots spécifiques pour brancher chacun sur sa motivation selon son propre fonctionnement.

Sentez ce que cela vous fait à l’intérieur, et remarquez les différences si vous vous dites, au moment d’aller vous coucher :

« J’ai envie de finir mon chapitre »
« Je dois finir mon chapitre »
« Il faut que je finisse mon chapitre »
« Je veux finir mon chapitre »
« Je peux finir mon chapitre »

La source de votre motivation

Autre Méta-programme qui illustre les caractéristiques de la motivation : dans un contexte donné, où cette personne trouve-t-elle la source de sa motivation ?

  • A l’intérieur d’elle-même ? Est-ce elle qui décide à partir de ses propres références et de ce qu’elle juge important ?
  • Ou bien trouve-t-elle la source de sa motivation dans les opinions des autres, dans les directives extérieures ? Est-ce l’autre qui décide et c’est cela qu’elle trouve motivant ?

Tout au long de votre formation à l’IFPNL, vous découvrez des outils utiles pour déclencher et entretenir votre motivation. Elle est comme un carburant qui coule en vous et chacun a son propre moteur. La mise au jour de vos valeurs et de vos méta-programmes est un moyen d’ entretenir les rouages du moteur.

De bons moyens de se démotiver

Pour finir cet article, faisons le tour de moyens « efficaces » que nous avons à notre disposition pour pouvoir perdre la motivation. Peut-être vous vous reconnaitrez dans certaines de ces attitudes :

  • Penser aux conséquences les plus négatives, au « scénario catastrophe »
    Cela créé de l’anxiété, du ressentiment et nous paralyse par rapport à un objectif
  • Se donner des ordres, se montrer intransigeant vis-à-vis de soi-même
    Cela crée une tension intérieure et nous empêche de contacter une saine motivation en direction de l’objectif à atteindre
  • Penser à la tâche à accomplir de façon globale. Voir « la montagne entière à gravir » sans découper les étapes intermédiaires possibles
    Cela nous fait nous sentir dépassé(e), submergé(e) et donne envie d’abandonner
  • Avancer vers l’objectif sans s’attacher à un but plus grand
    Cela nous fait prendre le risque de perdre l’enthousiasme au fil du temps, car ce sont les buts plus grands, reliés à nos valeurs qui nous permettent de faire preuve de rigueur ou de ténacité.

Stéphane DOLLY